Le nickel de nouvelle Calédonie cherche un plan d’urgence

Le Nickel calédonien cherche un scénario de sortie de crise alors que les grands actionnaires des trois usines métallurgiques de l’île refusent de rentrer flouer les caisse à nouveau. Face a la chute des cours, les discussions démarrées en 2023 par le gouvernement français s’apparente à un contre-la-montre. Il y a urgence Entamées en 2023 sous l’égide du gouvernement français, les discussion du groupe de travail sur l’avenir du nickel en Nouvelle-Calédonie – qui réunit l’Etat français avec le gouvernement, les Provinces et le Congrès calédoniens – sont sous pression. Isolé au milieu de l’océan Pacifique Sud, l’archipel calédonien est aujourd’hui le quatrième producteur minier de nickel (un métal utilisé en sidérurgie et, de plus en plus, dans la production de batteries électriques) dans le monde. Mais les trois usines métallurgiques de l’île font face à un déficit structurel et se rapprochent dangereusement du gouffre.